Comprendre la maçonnerie

Un idéal de fraternité universelle

Le parcours du Franc-Maçon est un chemin d’éveil. La relation qui le lie à ses semblables est unique. La recherche et le travail les réunit. La diversité́ et la compréhension mutuelle leur permettent de progresser. Quand le jugement est bienveillant, les divergences s’apaisent…

Le Franc-Maçon cherche à se transformer lui-même avant de vouloir changer les autres. Il aspire en permanence à s’améliorer tout en ayant conscience que sa vérité, sa justice, son histoire diffère de celle de ses Sœurs et Frères. En ce sens, il est universel. Cette recherche l’amène à bonifier les liens et à écarter les divisions.

Toutefois, Le Franc-Maçon est conscient du monde qui l’entoure et de ses turpitudes. En appliquant les principes et la méthode de la Franc-Maçonnerie dans la société, il tente de rayonner par son exemplarité et de l’améliorer. Il œuvre en permanence pour que du chaos, surgisse l’ordre et que ses utopies d’aujourd’hui soit ses réalités de demain.

En cela le Franc-maçon est un homme, une femme, riche du passé qui a les deux pieds dans le présent et qui est tourné vers l’avenir !

Comment y travailler ?

Le travail en franc-maçonnerie ne peut s’exercer au détriment de la famille, du travail, des loisirs. Progresser dans son être, dans son esprit est une entreprise ambitieuse. Cela demande disponibilité, dévouement et engagement. Le postulant doit être en mesure d’équilibrer ses occupations pour s’y consacrer de façon pertinente.

Les réunions se déroulent dans une pièce appelée temple, au sein d’une communauté appelée loge. Elles sont selon les cas mensuelles ou bimensuelles. Lors de celles-ci, différents travaux symboliques, historiques ou philosophiques sont présentés par un ou plusieurs membres. La diversité des sujets et des intervenants contribue à enrichir intellectuellement les présents.

La fraternité est le ciment de la relation. Les Francs-maçons s’unissent dans une chaîne d’union internationale. Ces travaux, ces codes, ce symbolisme commun font qu’ils se reconnaissent et s’entraident.